16

Mar

25

Mar

Danses en souvenir…

Le May-sur-Evre ● Saumur ● Pornichet ● Montaigu ● La Barre-de-Monts ● Laval ● Chateaubriant

● Sabrina Moulaï, clarinette - Gaëlle Habert, basson ● Dylan Corlay, direction

16

Mar

20:30

Terminé
Le May-sur-Evre
Espace Senghor

17

Mar

20:30

Terminé
Saumur
Théâtre Le Dôme

18

Mar

17:00

Terminé
Pornichet
Théâtre Le Quai des Arts

21

Mar

20:30

Terminé
Montaigu
Théâtre de Thalie

23

Mar

20:30

Terminé
La Barre-de-Monts
Espace Terre de sel

24

Mar

20:30

Terminé
Laval
Théâtre

25

Mar

16:00

Terminé
Chateaubriant
Théâtre de verre

Danses en souvenir…

Saison 2017/2018

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) ● Divertimento K136

Richard Strauss (1864-1949) ● Concertino pour basson et clarinetteSabrina Moulaï, clarinette - Gaëlle Habert, basson

Claude Debussy (1862-1918) ● Danse sacrée, danse profane

Edward Grieg (1843-1907) ● Suite Holberg

Dylan Corlay, direction

Le Concertino pour basson et clarinette de Richard Strauss est une page pleine de fraîcheur, de mouvement et de péripéties, revigorante comme une matinée ensoleillée à la campagne. Ce pétillant dialogue de la clarinette et du basson sera interprété par deux solistes de l’Orchestre National des Pays de la Loire, Sabrina Moulaï (clarinette) et Gaëlle Habert (basson).

En 1897, la Maison Pleyel, grand fabricant d’instruments, invente une nouvelle harpe chromatique pour concurrencer la harpe de la Maison Erard, son grand rival. Afin de promouvoir son instrument, Pleyel  commande à Debussy un programme à destination des élèves. Avec ces danses composées en août 1904, son auteur sollicite une écriture originale propre à l’instrument qui, depuis Berlioz, a toujours beaucoup intéressé les musiciens français. La Danse sacrée utilise un mode de musique ancienne et semble évoquer l’époque antique où la harpe existait déjà. La Danse profane s’enchaîne sans interruption. Toute différente et plus rapide, elle prend l’allure d’une valse.

La Suite Holberg fut composée en 1884, lorsque la ville de Bergen commanda à Grieg une pièce destinée à célébrer le 200e anniversaire de la naissance de Ludwig Holberg, auteur scandinave né à Bergen et considéré comme le “Molière nordique”. Grieg n’avait pu refuser une commande aussi prestigieuse et à l’arrière-pensée si manifestement politique. Il se vengea donc en composant une œuvre qu’il voulut profondément ironique. Il ne pouvait toutefois imager le succès de la pièce et surtout le fait qu’elle serait admise dorénavant comme une partition… des plus sérieuses !